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Bulletin ACPF - octobre 2017
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Salutations du président de l'ACPF
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Alors que nous bouclons un été qui, je le souhaite, vous a été profitable et que nous commençons à songer aux préparatifs en vue de l'hiver, j'espère que vous vous faites une joie à l'idée d'assister au 8e congrès annuel de l
'Association canadienne pour les plantes fourragères (ACPF), qui a lieu à
Guelph,
du 14 au 16 novembre
.
Le
thème du congrès, « Les systèmes de cultures de prochaine génération : les profits au-dessus, la richesse en-dessous », met en relief le rôle
important que jouent les fourrages et les pâturages en procurant des
avantages économiques (5,09 milliards de dollars par an) et écologiques
- pensons à la séquestration du carbone - aux Canadiens d'un océan à l'autre. Ne manquez pas cette occasion de vous renseigner sur les nouvelles
pratiques dans notre industrie,
de tisser des liens avec des
collègues, de prendre connaissance des résultats de nouvelles études sur les fourrages et les pâturages et de découvrir comment améliorer les résultats environnementaux.
Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web du congrès (
http://canadianfga.ca/conference/
).
Outre l'organisation de son congrès, dans laquelle elle s'investit à fond, l'ACPF continue de travailler à divers projets, dont le Programme de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre en agriculture et le Programme Agri-marketing, pour développer les marchés des fourrages. Elle a aussi accueilli avec satisfaction en juillet l'annonce du Partenariat canadien pour l'agriculture, un investissement de trois milliards de dollars sur cinq ans, destiné à renforcer le secteur de l'agriculture, de l'agroalimentaire et des produits agro-industriels.
Ces annonces montrent que le secteur des fourrages et des pâturages est reconnu et soutenu à l'échelle nationale en tant que pratique écologiquement progressiste. Notre association vit de belles années!
Ray Robertson, P. Ag.
Président de l'Association canadienne pour les plantes fourragères
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La politique sur le carbone au congrès annuel de l'ACPF
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Les cultures fourragères et la politique sur le carbone au Canada occuperont l'avant-scène le mercredi 15 novembre pendant le 8e congrès annuel de l'ACPF, à Guelph, en Ontario.
Karen Haugen-Kozyra, de Viresco Solutions, brisera la glace avec un exposé sur le rôle des fourrages dans les politiques sur l'environnement et le carbone. Ensuite, Lara Ellis, d'ALUS Canada, nous entretiendra des pâturages canadiens et des programmes de biens et services écologiques dans une perspective de valeur économique et de marchés. Drew Black, de la Fédération canadienne de l'agriculture, clora le sujet par un exposé sur la politique sur le carbone et les systèmes d'échange de crédits d'émission de carbone.
D'autres conférenciers présenteront des exposés sur les sols et la santé animale, la rentabilité des systèmes fourragers et le développement des exportations de fourrages. Tous ces exposés cadrent à merveille avec l
e thème général du congrès, « Les systèmes de cultures de prochaine génération : les profits au-dessus, la richesse en-dessous », qui souligne les avantages économiques et écologiques
importants que les fourrages et les pâturages procurent aux Canadiens, d'un océan à l'autre.
« Avec une valeur économique directe de 5,09 milliards de dollars et plus de 70 millions d'acres en culture, la production fourragère est le secteur agricole canadien qui occupe la plus grande superficie de terres. C'est la pierre angulaire de la filière ruminants au Canada, souligne le directeur administratif de l'ACPF, Cedric MacLeod. Les plantes fourragères vivaces, en séquestrant du carbone, procurent des avantages considérables à la société, et l'ACPF s'emploie actuellement à quantifier le volume de cette importante ressource de l'environnement et à en chiffrer la valeur dans le cadre du Programme de lutte contre les gaz à effet de serre en agriculture. »
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Améliorer la densité des balles de foin
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Les dispositifs de hachage de la récolte intégrés aux presses à foin sont un moyen exceptionnel d'améliorer la densité des balles, car l'herbe coupée se tasse mieux et forme une balle de foin plus compacte. Dans le cas de matériau destiné à des litières pour les animaux, le hachage en augmente les qualités absorbantes, tout en facilitant la désagrégation des balles. Pour ce qui est des balles de foin entreposées à l'extérieur, qu'elles soient destinées à des litières ou à l'alimentation des animaux, comme elles sont plus denses, elles résistent mieux aux intempéries et absorbent moins d'humidité en provenance du sol, réduisant ainsi considérablement les pertes et le gaspillage.
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Bonne nouvelle pour les exportateurs de foin du Canada
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Le 8e congrès annuel de l'ACPF qui aura lieu à Guelph, en Ontario, du 14 au 16 novembre, s'annonce phénoménal cette année encore.
L'Administration générale des contrôles de qualité, des inspections et des quarantaines de la Chine (AQSIQ) a terminé son audit des transformateurs de foin canadiens, et les nouvelles sont bonnes : l'agrément a été renouvelé, ce qui autorise le Canada à exporter du foin en Chine jusqu'en 2023.
L'audit conclut que le Canada
supervise efficacement les établissements de production et de transformation en procédant à des audits deux fois l'an, conformément au Manuel du Programme canadien de certification du foin et au Protocole Chine-Canada. Le Manuel fournit une foule de renseignements, dont des descriptions détaillées des exigences du programme, des listes des parasites et des mesures de lutte antiparasitaire.
D'après les inspections, les établissements visités ont de bonnes procédures de contrôle antiparasitaire en place à l'échelle des exploitations agricoles, et l'entreposage de la matière brute et du produit fini, l'équipement et la disposition de la production dans les usines de transformation sont jugés raisonnables.
Selon le rapport d'audit, intitulé
Report on Inspection of Canadian Forage Inspection /Quarantine/Supervision System and Producing Establishments for Export to China
, le Canada a de bons systèmes pour la traçabilité des fourrages, le chargement des conteneurs, l'expédition et la sécurité. On y note aussi que les établissements sont en mesure de satisfaire aux exigences chinoises concernant le dépistage de la flétrissure verticillienne
dans les
fourrages et la présentation des résultats à l'Agence canadienne d'inspection des aliments.
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Bonne nouvelle pour les exportateurs de foin du Canada
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L'Administration générale des contrôles de qualité, des inspections et des quarantaines de la Chine (AQSIQ) a terminé son audit des transformateurs de foin canadiens, et les nouvelles sont bonnes : l'agrément a été renouvelé, ce qui autorise le Canada à exporter du foin en Chine jusqu'en 2023.
L'audit conclut que le Canada
supervise efficacement les établissements de production et de transformation en procédant à des audits deux fois l'an, conformément au Manuel du Programme canadien de certification du foin et au Protocole Chine-Canada. Le Manuel fournit une foule de renseignements, dont des descriptions détaillées des exigences du programme, des listes des parasites et des mesures de lutte antiparasitaire.
D'après les inspections, les établissements visités ont de bonnes procédures de contrôle antiparasitaire en place à l'échelle des exploitations agricoles, et l'entreposage de la matière brute et du produit fini, l'équipement et la disposition de la production dans les usines de transformation sont jugés raisonnables.
Selon le rapport d'audit, intitulé
Report on Inspection of Canadian Forage Inspection /Quarantine/Supervision System and Producing Establishments for Export to China
, le Canada a de bons systèmes pour la traçabilité des fourrages, le chargement des conteneurs, l'expédition et la sécurité. On y note aussi que les établissements sont en mesure de satisfaire aux exigences chinoises concernant le dépistage de la flétrissure verticillienne
dans les
fourrages et la présentation des résultats à l'Agence canadienne d'inspection des aliments.
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Une agronome spécialiste de la production fourragère se joint à l'équipe de la ferme expérimentale de Nappan
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Après avoir obtenu un B. Sc. en phytotechnie et une M. Sc. en agronomie des fou-
rrages et en génétique quantitative à l'Université de Guelph, Kathleen Glover a fait son doctorat en biologie moléculaire et en biochimie à l'Université Dalhousie. Elle s'est ensuite consacrée à la recherche agronomique appliquée pendant une dizaine d'années pour le compte du secteur agricole, d'organismes gouvernementaux et d'entreprises privées. L'agronomie des fourrages était au cœur de cette recherche qui l'a amenée à réaliser des essais en champ sur un large éventail de sujets : gestion de la fertilisation des graminées fourragères, évaluation de nouveaux germoplasmes fourragers et évaluation de nouvelles méthodes d'analyse de la résistance au froid et du potentiel d'ensemencement en sol gelé de différentes espèces de légumineuses.
Mme Glover s'intéresse depuis longtemps à l'effet des fourrages sur la productivité des élevages de ruminants. En sa qualité de titulaire de la chaire de recherche sur la nutrition moléculaire à l'ancien collège agricole de la Nouvelle-Écosse, elle a participé à des recherches sur l'effet comparé des fourrages frais et des fourrages ensilés sur le rendement laitier et la qualité du lait chez la vache, et a étudié les effets des espèces fourragères sur la croissance et les interactions nutrition-génétique chez l'agneau au pâturage. Elle a aussi apporté son expertise scientifique à l'étude et à la démonstration technique des avantages du pâturage tournant intensif pour la production bovine dans un pâturage communautaire.
Mme Glover est entrée à Agriculture et Agroalimentaire Canada en mai, où elle travaille comme agronome spécialiste des fourrages pour la ferme expérimentale de Nappan. L'ACPF s'est entretenue de production fourragère avec elle.
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L'Ontario Forage Council tient son congrès annuel Forage Focus à Shakespeare le mardi 12 décembre, au Shakespeare Optimist Hall, et à Winchester le lendemain au centre communautaire Joel Steele.
Le programme et l'horaire sont identiques pour les deux jours. Après l'inscription et le salon commercial, ayant lieu de 9 h à 10 h, des conférenciers présenteront des exposés jusqu'à 15 h 30. Les exposés sont accrédités CEP.
Cette année, notre conférencier principal est Robert Berthiaume, spécialiste des systèmes de fourrages en production laitière. M. Berthiaume a fait son B. Sc. en économie agricole à l'Université Laval, puis sa maîtrise et son doctorat en science animale à l'Université de Guelph. De 1989 à 2012, il a été membre de l'équipe de nutrition du Centre de recherche et de développement sur le bovin laitier et le porc à Lennoxville. De 2012 à 2017, Berthiaume s'est joint au département de recherche-développement de Valacta en qualité de spécialiste des systèmes de fourrages en production laitière. Depuis sa retraite, en juillet 2012, il agit à titre de consultant.
Les frais d'inscription au congrès cette année sont de 40 $ et comprennent les travaux du congrès et un repas chaud. Nous vous proposons aussi des livrets de 10 billets à offrir en cadeau à vos clients ou à vos employés. L'inscription préalable se termine le 8 décembre. Il sera aussi possible de s'inscrire sur place le jour même, mais le dîner chaud pourrait ne pas être inclus. L'inscription peut se faire au téléphone ou par courriel.
Il reste encore des possibilités de participation au salon et aux commandites pour les deux jours, mais les places s'envolent rapidement, alors ne tardez pas. Forage Focus est une excellente occasion de faire de la publicité pour votre entreprise auprès de votre public cible!
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Autres activités prévues
Si vous souhaitez faire ajouter un événement au calendrier, veuillez envoyer un courriel à
[email protected].
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Canadian Forage & Grassland Association
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