Journée internationale de la femme!

"Je ne suis pas allée à l'école, mais je travaille dur pour que mes petits-enfants aient la possibilité d'aller à l'école. J'ai travaillé dans la ferme agricole de Solidarity with South Sudan en tant que travailleur occasionnel régulier pour obtenir de l'argent afin de payer les frais de scolarité, d'acheter des uniformes scolaires, de la nourriture et, en même temps, de subvenir aux besoins de mon ménage".

Agnes

"Les enseignantes surmontent la discrimination fondée sur le sexe : J'ai dû lutter contre la discrimination fondée sur le sexe pour réaliser mon noble rêve. J'apprécie mon expérience à l'école de Solidarity, car elle m'a permis de donner l'exemple de la coexistence pacifique. Des personnes de différentes tribus viennent y étudier et deviennent vos amis. Cela contribue à la construction de la paix”.

Madaline Louis

“Lorsque je suis arrivée au CHTI, j'ai appris que le nombre de sages-femmes, en particulier à Wau, était très faible, mais que la plupart des étudiants s'inscrivaient pour devenir infirmiers. J'en ai discuté avec Sr Leema Rose, la directrice du CHTI. Elle m'a permis de rejoindre le programme de formation des sages-femmes. Depuis que j'ai changé de programme, j'ai été impressionnée par le rôle de la sage-femme. Sauver deux vies en même temps est une chose merveilleuse”.

Rosalyn Edwards Anthony

"Mon rôle en tant que femme de foi est de soutenir les gens et de les aider lorsqu'ils demandent de l'aide.

J'ai reçu une formation professionnelle en conseil et en psychologie sociale en Europe. Cela m'a permis de réfléchir à mon propre parcours de femme africaine dans une société dominée par les hommes.

J'ai eu le privilège d'écouter des femmes qui cherchaient à faire entendre leur voix et à faire valoir leur dignité, malgré des obstacles inhumains".

Sr Scholasticah, membre de Solidarity