Juin 2020
Un conseil d’administration nouvellement élu au Conseil canadien de la sécurité nautique
À l’assemblée générale annuelle du CCSN, tenue le 20 mai 2020, les administrateurs et dirigeants suivants se sont fait élire :

Président : Joe Gatfield
Vice-président : Ted Fortuna
Secrétaire : Ron Kroeker
Trésorier : Denis Vallée
Président sortant et membre sans affectation particulière : John Gullick
Conseillers cadres : Lawrence Jacobs, Jean Murray
 
Administrateurs et administratrices de retour :
Mal Blann, Barbara Byers, Rick Cassels, Ian Gilson, Brenda Reeve, Clara Reinhardt, Alain Roy et Steve Wagner, puis les cadres ci-dessus
Nouveaux administrateurs et administratrice :
Daniel Breton, Ian Campbell (entrée en fonction à compter de décembre 2020), Bob Chabot, Peter Heard, Michelle McShane
Observateurs d’office : Stu Gilfillen, président, National Safe Boating Council (Conseil national de la sécurité nautique des É-U)
Peter Garapick et Jay Morrison se retirent du conseil d’administration.

Administrateur émérite : Michael Vollmer (nomination du président du CCSN)

Le président du CCSN, Joe Gatfield, a remercié, pour leur contribution, les membres du conseil d’administration qui quittent puis, pour leur engagement continu, les membres du conseil qui restent. Il a aussi chaleureusement souhaité la bienvenue aux nouveaux membres du conseil d’administration. À titre d’organisation basée sur des bénévoles, c’est au travail acharné et au dévouement de son conseil d'administration, de ses présidents de comité et de ses chargés de projet que le CCSN doit sa croissance comme chef de fil influent et couronné de succès en matière de sécurité nautique.
Présentation des nouveaux administrateurs du CCSN
Daniel Breton a exercé de nombreuses fonctions de haute direction dans la Garde côtière canadienne (GCC) et il en est actuellement directeur général, Intervention, ce qui lui fait superviser la politique et l’exécution des programmes opérationnels du système de recherche et sauvetage (R-S) en mer du Canada, le programme d’intervention environnementale et la mise en œuvre de la nouvelle Loi sur les épaves et les bâtiments abandonnés ou dangereux.
Après l’obtention de son diplôme du Collège de la Garde côtière canadienne, Ian Campbell a d’abord servi comme officier de la flotte de la GCC. Par la suite, il a assumé la responsabilité du Bureau de la sécurité nautique de Transports Canada. Récemment retraité, il est un adepte passionné de nautisme alors que la voile, la pagaie et les bateaux à moteur représentent une grande facette de sa vie.
Bob Chabot est membre de la GRC depuis 28 ans. À titre de sergent-chef, il est le coordonnateur du transport sur les eaux intérieures ainsi que le coordonnateur de la R-S en mer pour la Division D (Manitoba). Il jouit d’une formation maritime approfondie et il est un grand adepte de chasse et de pêche, doté d’une « flotte » personnelle de 5 embarcations.
Peter Heard a récemment pris sa retraite au terme d’une carrière de 31 ans dans la Police régionale de York (Ontario), ayant servi tant dans les patrouilles en uniforme que dans les enquêtes criminelles ainsi qu’à titre d’officier responsable de la patrouille nautique. Il a été un membre actif de l’Escadrille canadienne de plaisance de Newmarket (Ontario) au fil des 20 dernières années, y ayant exercé de nombreuses fonctions dont celle de commandant d’escadrille.
Michelle McShane est directrice générale de Pagaie Canada et elle apporte 20 ans d’expérience comme gérante générale d’un magasin de plein air et de pagaie, comme instructrice de pagaie et comme guide d’aventure. Elle a été adepte de pagaie et de plein air toute sa vie.
Le Symposium du CCSN passe en ligne
En raison de la situation entraînée par la COVID-19, le Conseil canadien de la sécurité nautique a dû annuler la tenue du Symposium de 2020 qui était prévue du 28 septembre au 1 er octobre à l’hôtel Algonquin de St. Andrews au Nouveau-Brunswick. Nous en sommes déçus : nous avions prévu un programme génial, l’hôtel et le site sont superbes et il est toujours merveilleux que la communauté de la sécurité nautique puisse se retrouver et s’apprendre des choses. Nous espérons pouvoir revenir à St. Andrews dans l’avenir.

Par contre, la bonne nouvelle, c’est que nous prévoyons tenir un excitant Symposium virtuel le 1 er octobre 2020 et vous pourrez y prendre part gratuitement !

Le point de mire de ce qui prendra la forme d’un webinaire, c’est Voies navigables partagées : la voie à venir. « Voies navigables partagées », c’était le thème du Symposium de 2019 à Port Credit (Ontario) et il avait suscité beaucoup d’intérêt. Nous avions alors recruté de nouveaux groupes dont les administrations portuaires qui avaient partagé leurs propres perspectives et pratiques, les discussions entre personnes participantes avaient apporté plusieurs idées, puis toutes et tous étaient d’accord que le partage des voies navigables représente une question d’importance considérable. Toutefois, aucune voie d’avenir claire n’en était ressortie. Ainsi, au webinaire du 1 er octobre, nous comptons aller de l’avant de manière à :

  • obtenir des perspectives additionnelles de la part de conférenciers internationaux et de la communauté de pagaie,
  • examiner quels outils nous avons collectivement en mains pour nous attaquer aux problèmes du partage des voies navigables et
  • déterminer quels sont les prochains pas que nous pouvons faire, individuellement ou collectivement.
 
Nous sommes à planifier les détails de ce Symposium virtuel. Entre-temps, réservez la date et prévoyez vous joindre à nous !

À cet effet, nous exprimons nos sincères remerciements, comme toujours, à la société Stearns Coleman, commanditaire principal, pour son soutien de cet événement et de nombreuses autres activités du CCSN.
Les campagnes de sécurité 2020 du CCSN
La Semaine de la sécurité nautique

La Semaine de la sécurité nautique (SSN) a pris une bien différente tournure cette saison-ci. Avec les villes de Winnipeg, Montréal, Vancouver, Victoria, Nelson et Toronto toutes sur le point d’attirer les médias et de diffuser les messages de sécurité nautique du CCSN, la pandémie de la COVID-19 a mis sur la touche les lancements physiques qui ont été remplacés par des messages nationaux de faire-savoir qui ont été transmis en partenariat avec les services médiatiques de Canada Newswire et Cision. Les messages ont été acheminés à des bureaux de presse partout au Canada, directement à des influenceurs médiatiques ainsi que par l’entremise des réseaux sociaux. En sus des messages habituels de sécurité nautique, les communications mettaient en relief les changements dont il faut se charger en nautisme afin de maintenir aussi une distanciation sociale sécuritaire. L’une des caractéristiques notables du lancement de cette année, c’était une vidéoproduction qui raconte l’histoire du sauvetage dramatique de 6 adeptes de pagaie dans la région de Vancouver en 2018 et qui en relate quelques importantes « leçons apprises ». Il s’agissait d’un projet de vidéo en coentreprise entre Jamie Gibson de la patrouille nautique de la police de Vancouver et Dave Hill de PlaySafe Productions. Vous pouvez la visualiser à https://youtu.be/u6E3rjbVcM4

Malgré les changements apportés à la diffusion et aux lieux cette année, le CCSN a pu fournir à des millions d’adeptes canadiens de nautisme de l’information géniale sur la sécurité à utiliser pendant la Semaine même de la sécurité nautique ainsi que tout au fil de la saison nautique.

Transports Canada a aussi fait référence au site Web du CCSN dans son communiqué de presse sur la SSN.
L’achèvement de projets en cours du Fonds des nouvelles initiatives (FNI) de R-S
Le CCSN a constamment connu du succès à obtenir le « feu vert » pour voir à la diffusion de messages de sécurité nautique et de sensibilisation à la R-S par l’entremise du programme du FNI de Sécurité publique Canada. Un projet a récemment été mené à terme (le 31 mars) mais, en raison de la COVID-19, deux projets ont été retardés. Le projet qui a été achevé est celui de Plaisancier averti Jeunesse, réalisé conjointement avec Scouts Canada. Nous avons travaillé de pair avec eux pour créer le contenu contextuel et la documentation de référence des nouvelles fiches de parcours portant sur la sécurité nautique et sur la prise de conscience des eaux froides. Au total, ce sont 11 fiches de parcours qui ont ainsi été créées et mise en œuvre à l’échelle des Castors, Louveteaux, Scouts et Aventuriers.

Les deux autres projets, Opération Survie (OS) et Jeunes ambassadeurs du Nord (JAN), ont subi l’impact de la COVID-19. Nous étions en voie de boucler quelques tâches lorsque le pays s’est essentiellement arrêté, ce qui nous a empêché de les achever. La situation a entre autres empêché la distribution en réponse aux demandes restantes des trousses éducatives de présentation et la finalisation de notre distribution de gilets de sauvetage au Yukon. La bonne nouvelle, c’est que nous avons obtenu l’approbation pour une prolongation d’un an afin de pouvoir achever ces tâches en 2020-2021. OS se concentrait sur la diffusion d’un programme éducatif de sécurité nautique/aquatique dans les écoles de communautés nordiques/isolées et sur un programme d’acquisition de gilet de sauvetage, ce qui comprenait l’achat puis la livraison de gilets de sauvetage dans ces communautés. JAN, c’était un élargissement d’OS en apportant le programme éducatif aux Rangers juniors canadiens et en formant ceux-ci de manière à ce qu’ils rapportent le programme dans leurs communautés. Aussi, nous avons élargi le programme d’acquisition de gilets de sauvetage jusqu’à des communautés nordiques additionnelles.
Les nouveaux projets du FNI approuvés cette année :

La recherche qui flotte/La sécurité nautique qui s’exprime

Ce projet consiste en deux projets complémentaires combinés en une seule campagne de 3 ans de recherche et de publicité.

La recherche qui flotte s’avérera l’une des premières études canadiennes depuis longtemps sur le port du gilet de sauvetage . En commençant par établir un taux de base de port à compter d’un certain nombre de lacs intérieurs (où a historiquement lieu la plus grande catégorie de noyades de plaisanciers), l’étude comprendra une particularité uniquement canadienne qui en améliorera l’efficacité : elle sera menée depuis les airs, puis complétée au moyen d’une étude d’interception. De même, une campagne publicitaire d’envergure sur le port du gilet de sauvetage sera lancée dans la région étudiée, puis les résultats feront l’objet d’observations et de rapports. Par après, un rapport détaillé suivra, ce qui fournira des résultats et des stratégies aux partenaires de faire-savoir de la sécurité nautique afin qu’ils puissent ensuite s’exécuter dans leurs propres régions.

Quant à la seconde partie, complémentaire, de ce projet, il s’agit de La sécurité nautique qui s’exprime (SNS), une initiative nationale destinée à diffuser des messages de sécurité nautique comme ils n’ont jamais été diffusés auparavant. Ainsi, au fil des 3 années, ce seront 6 campagnes individuelles exploitant la réalité augmentée (RA) — une expérience interactive et immersive d’apprentissage pour adeptes de nautisme — qui seront créées sur des sujets aptes à fournir aux adeptes l’information qu’il leur faut pour réduire la fréquence, la durée et la sévérité des missions de R-S. La SNS interpelle les adeptes de nautisme par l’entremise de différents médias traditionnels, avec l’aide du levier économique des relations nautiques et médiatiques du CCSN et en initiant l’auditoire cible de nautisme à un niveau inédit d’information grâce à la RA. L’information-clé est diffusée au moyen de courtes vidéos et présentations interactives captivantes, de sorte que les usagers n’ont besoin que de courtes durées d’attention pour assimiler et traiter la matière importante. De plus, les thèmes de la préparation, de la prévention et de la performance à être intégrés à l’expérience nautique reviennent constamment de manière à en rehausser la prise de conscience, la rétention et la remémoration, ce qui formera un appel à l’action plus persuasif que peuvent l’être les simples messages plus traditionnels de porter son gilet de sauvetage .

Débrouillardise de R-S
Débrouillardise de R-S, c’est une initiative de faire-savoir/éducation sur 3 ans qui exercera une influence sur la survie et la prise de conscience en matière d’eaux froides dans le cadre d’un programme de prévention de la R-S qui est offert aux communautés autochtones partout au Canada. Cette initiative inclura du contenu qui se concentre sur les défis particuliers que représente la nécessité d’être adéquatement préparé et autosuffisant en régions nordiques éloignées ; elle fournira aussi des connaissances et veillera au développement de compétences portant sur les pratiques de prévention et d’autosauvetage, et ce, de manière à réduire la nécessité d’appels de R-S dans le Nord, grâce à de la formation et de la promotion.

Au cœur de Débrouillardise de R-S, il y a une formation vidéo expérientielle de survie/autosauvetage, laquelle se base sur un camp d’entraînement ( bootcamp) et qui incorpore des éléments de survie en eaux froides, de sécurité sur la glace, d’autosauvetage, de sensibilisation à l’hypothermie et de soins à une victime d’hypothermie. Des représentants bénévoles issus des régions du Nord y prendront part et apprendront ce qu’il faut pour savoir faire preuve de Débrouillardise de R-S, puis ils partageront leurs expériences, les nouvelles connaissances acquises et leur pertinence dans leurs vies.

Une fois la formation terminée, le rayonnement communautaire se fera sur de nombreuses plateformes. La première tranche consistera en une série d’affiches personnelles, chacune d’un bénévole qui a pris part au camp d’entraînement et qui est issu de la région que l’affiche illustre. Puis, grâce à l’apport de la réalité augmentée (RA), les affiches prendront vie, soit avec les bénévoles qui relatent leurs histoires et qui partagent les leçons qu’ils ont apprises. Aussi, les affiches signaleront un site Web éducatif comprenant des éléments de l’enseignement du camp d’entraînement de même que des histoires personnelles additionnelles de la part des participants.
De nouvelles lignes directrices de Transports Canada pour la COVID-19
Cet été, le fait de rester en sécurité sur l’eau comporte une nouvelle dimension : s’adapter à la COVID-19. À cet effet, Transports Canada offre considérablement de matière sur son site Web https://www.tc.gc.ca/fr/initiatives/covid-19-mesures-mises-a-jour-lignes-directrices-tc/lignes-directrices-embarcations-plaisance-pandemie-covid-19.html

À mesure que les restrictions s’assouplissent pour les activités nautiques dans différentes parties du pays, Transports Canada a publié de nouvelles lignes directrices pour permettre de respecter les réalités de la COVID-19. Les informations détaillées suivantes pourraient vous intéresser :
COVID-19 : Éloignement physique pour les plaisanciers canadiens (accessible en PDF)


Embarcations de plaisance au nord du 60 e parallèle : À compter du 1 er juin 2020, la circulation d’embarcations de plaisance sera interdite dans les eaux côtières de l’Arctique canadien (au nord du 60 e parallèle) et dans les régions côtières du nord du Québec et du Labrador. Ces restrictions ne s’appliqueront pas aux embarcations de plaisance utilisées par les collectivités locales, comme moyen de transport essentiel ou pour la chasse, la récolte et la pêche à des fins de subsistance. Ces mesures resteront en place au moins jusqu’au 31 octobre 2020. Pour de plus amples renseignements, allez à https://www.canada.ca/fr/transports-canada/nouvelles/2020/05/le-gouvernement-du-canada-annonce-de-nouvelles-mesures-visant-les-embarcations-de-plaisance-pres-des-collectivites-nordiques.html


  • COVID-19 : Éloignement physique et sécurité nautique pour les Canadiens
  • COVID-19 : Guide à l’intention des Canadiens qui utilisent les ports de plaisance et les rampes de mises à l’eau
  • COVID-19 : La navigation sécuritaire pour les Canadiens afin d’alléger le fardeau des intervenants d’urgence
  • Vous prévoyez traverser la frontière en bateau? Ne le faites pas.
La campagne « Imaginez l’industrie maritime ! »
Comme nous toutes et tous le savons, l'industrie maritime s’avère très diversifiée mais toutes ses facettes demeurent néanmoins reliées. Le Conseil canadien de la sécurité nautique est dorénavant membre d’une initiative qui a été lancée par la Fondation de l'industrie maritime canadienne (FIMC) pour aider les Canadiens qui s’intéressent à se lancer dans une carrière maritime, tant en mer qu’à terre, à se retrouver dans le labyrinthe d’informations. Entre alors en jeu la campagne de la FIMC : « Imaginez l’industrie maritime ! » (de l’anglais Imagine Marine! ).

Pratiquement toutes les industries classent le renouvellement des effectifs parmi leurs trois plus grands défis d’affaires. Pour l’industrie maritime, c’est même parmi les deux premiers et cela représente une menace croissante. À la différence d’autres secteurs, l’industrie maritime a besoin de plus que d’une rotation générationnelle de main-d’œuvre : elle dépend constamment d’un bassin de personnel talentueux qui est disposé à suivre des formations particulières à tous  les niveaux, y compris au niveau d’entrée.

La FIMC vise donc à réduire la menace que pose une pénurie de main-d’œuvre au secteur de l’industrie maritime commerciale et, par extension, à l’économie canadienne, de même qu’au secteur public pour lequel existent des besoins semblables, tant pour du personnel de bord que du personnel à terre. À cet effet, la Fondation travaille avec des parties prenantes et des tenants de manière à servir de forum national qui rassemble des intervenants-clés de l’industrie maritime partout au Canada. L’objectif, c’est de mettre les efforts en synergie afin d’attirer le talent à l’industrie maritime. La FIMC mettra aussi au point et administrera des services et des programmes qui feront la promotion d’une sensibilisation accrue du public quant aux carrières dans les secteurs privés et publics de l’industrie. Elle servira d’organisation-cadre canadienne en présentant les ressources de l’industrie maritime, y compris le CCSN, et essentiellement en aiguillant vers les filières appropriées les demandes de renseignements concernant la formation, le mentorat et l’emploi.

Le rôle de la FIMC, c’est d’aider à raconter et illustrer la fascinante histoire de l’industrie maritime et ainsi d’en rehausser la prise de conscience afin que l’industrie puisse d’autant mieux rivaliser pour attirer la main-d’œuvre qualifiée, les gens de métiers spécialisés et les professionnels accrédités qui lui permettront d’aller de l’avant. La Fondation tire partie de l’énergie et des ressources de ses membres pour informer et éduquer le grand public sur les mérites de l’industrie maritime et ses avantages considérables. Avec son lancement prévu tôt dans la seconde moitié de 2020, la campagne Imaginez l’industrie maritime ! parlera du style de vie, de la conciliation travail-vie personnelle et de la poursuite de ses rêves, puis elle invitera les candidats à envisager de se joindre à une industrie qui jouit d’une tradition et d’un avenir comme aucune autre. Bref, elle leur dira : Imaginez l’industrie maritime !
Les efforts principaux de la campagne de la Fondation comprendront une composante « axée sur le public » qui visera des auditoires cibles au moyen d’un message qui saura résonner tant dans sa forme que dans sa fonction. Ainsi, en tirant profit de la puissance de l’effet de levier d’Internet et des médias sociaux, Imaginez l’industrie maritime ! identifiera et retiendra les auditoires d’effectifs potentiels allant du niveau d’entrée jusqu’aux professionnels chevronnés de même que les candidatures de seconde carrière. Elle illustrera la valeur de l’industrie maritime à l’aide de mots et d’images de la vraie vie de la part de travailleurs actuels de l’industrie, tant à terre que navigant.

L’objectif, c’est de générer de l’intérêt, entamer un dialogue, puis diriger les personnes en quête d’un emploi et d’une carrière vers le site Web Imaginez l’industrie maritime ! de la Fondation. À cet effet, la FIMC suscite votre aide pour que, d’une part, le message se rende jusqu’à la main-d’œuvre et à la prochaine génération et pour que, d’autre part, ces personnes soient aiguillées vers le site Web Imaginez l’industrie maritime ! et les canaux de médias sociaux qui sont en préparation pour qu’elles aussi puissent Imaginer l’industrie maritime ! Vous pouvez communiquer avec la FIMC à [email protected] , en apprendre davantage à www.cmif-fimc.ca et la suivre sur LinkedIn pour obtenir les dernières nouvelles sur le lancement de Imaginez l’industrie maritime ! 
Les Prix du Conseil canadien de la sécurité nautique
En raison de la situation toujours changeante de la COVID-19, nous ne sommes pas encore sûrs de la date ni de la forme de la prochaine célébration des Prix du Conseil canadien de la sécurité nautique. Ce dont nous sommes toutefois sûrs, c’est qu’il se trouve constamment des héros et héroïnes de la sécurité nautique sur le terrain et qu’ils et elles méritent de la reconnaissance. Donc, lorsque vous serez sur l’eau cet été, gardez l’œil ouvert pour quelqu’un qui contribue sensiblement à la sécurité nautique – qu’il s’agisse d’un individu, d’un groupe ou d’une organisation, puis soumettez sa candidature pour l’un des Prix canadiens de la sécurité nautique (aussi connus par leur acronyme anglais CASBA). https://csbc.ca/fr/evenements/prix-pcsn/formulaire-de-candidature Puis, surveillez nos Bulletins et le site Web du CCSN pour des mises à jour.
Ces bateaux que nous adorons
Voici une série en continu, conçue pendant les sombres premières journées des restrictions entourant la COVID-19, dans laquelle des administrateurs et administratrices du CCSN ainsi que des chargés et chargées de projet partagent ce qu’ils et elles adorent à propos de bateaux et de nautisme. Nous formons ensemble une communauté, engagée à rester solidairement en sécurité sur l’eau.
Joe Gatfield, président du CCSN

Pourquoi donc, pourriez-vous penser, aurais-je ressenti de l’amour pour une telle embarcation ? C’est qu’elle a été ma toute première… Je l’avais payée 20 $ et elle avait besoin de beaucoup de réparations et de soins dévoués. Cette embarcation m’a permis de gagner le respect de mes parents en ce qu’ils ont eu confiance en ce que je faisais, puis elle a été l’occasion de mon éducation initiale quant à « tout ce qui importe » en matière de nautisme. J’avais 14 ans et l’embarcation ne faisait que 8 pieds de longueur. L’équipement de sécurité fut obligatoire et mon enthousiasme à me retrouver sur l’eau n’a été refroidi que par tout le temps qu’il a fallu pour que tout soit parfait. Le frisson de plaisir de ma première sortie m’a laissé complètement « accro au nautisme » et les leçons que j’en ai tirées me sont restées pour la vie.
John Gullick , ancien président

Voici mon Peterborough Jupiter de 1959. Je viens tout juste de finir de remettre en état un Mercury 45 HP de 1962 de façon à ce qu’il comporte maintenant l’arbre long que nécessite un bateau d’une telle profondeur. Ma femme Vicki et moi avons acheté ce bateau il y a deux ans et j’ai passé beaucoup de temps à en restaurer l’extérieur et à redessiner l’intérieur avec une banquette avant divisée. Le bateau a été construit à Peterborough (Ontario) et le hors-bord Mercury a été fabriqué près de Downsview, juste au nord de Yorkdale à Toronto.
Plus ...

Pour ceux et celles d’entre vous qui ne se lassent jamais de bateaux anciens, allez jeter un coup d’œil aux articles et photos de Ron Kroeker, secrétaire  du CCSN, et de Michael Vollmer, administrateur émérite, dans les Bulletins d’octobre 2019 et d’août 2015. https://csbc.ca/fr/bulletins 
En bref
Le CCSN tient des ateliers (en anglais) sur l’immersion en eaux froides — destinés à former des personnes qui sont premiers répondants ou qui travaillent à proximité d’eaux froides — qui portent sur comment venir à la rescousse de victimes potentiellement hypothermiques et les traiter. Nos ateliers de 2020 sont actuellement toutefois en suspens pendant que nous nous adaptons à la situation de la COVID-19. Si cela vous intéresse soit d’accueillir un tel atelier dans l’avenir, soit d’y prendre part, veuillez svp communiquer avec M. Ian Gilson (en anglais) à [email protected] . Entre-temps, vous trouverez amplement de ressources à propos des eaux froides sur le site Web du CCSN, y compris les DVD Camp de survie en eau froide de même que Au-delà du camp de survie en eau froide qu’il vous est possible d’acheter à https://csbc.ca/fr/dvd-sur-l-immersion-en-eau-froide

Diana Piquette a succédé à Frances Carmichael à titre de présidente de l’organisation Safe Quiet Lakes (De tranquilles lacs sécuritaires) le 23 mai 2020.  L’organisation https://safequiet.ca/ se concentre sur les façons d’améliorer la tranquillité et la sécurité des lacs de la région de villégiature de Muskoka (au nord de Toronto) afin d’assurer la jouissance durable d’une telle précieuse ressource partagée.

  • Daniel Breton a officiellement été nommé directeur général, Intervention, GCC
  • Julie Gascon, directrice générale, Opérations, GCC, assumera le rôle de directrice générale, Sécurité et sûreté maritimes à Transports Canada le 29 juin
  • Marc Mes se joindra à nouveau à la Garde côtière pour assumer le rôle de directeur général, Opérations, dont l’entrée en vigueur sera le 13 juillet 2020.

Êtes-vous à la recherche de calme et de positivité en ces temps stressants ? Jetez un coup d’œil au documentaire Tripping the Rideau Canal de la chaîne TV Ontario à https://www.tvo.org/video/documentaries/tripping-the-rideau-canal . Il s’agit d’une excursion en temps réel (3 heures) à bord d’un bateau antique sur le canal Rideau (Ontario), avec uniquement les paysages et les sons ordinaires (oiseaux, moteur, écluses) qui vous entourent.