Questions-Réponses
Un nouveau chef a la tête du Trade Hub
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Le Trade Hub a commencé la nouvelle année sous la direction d'un nouveau chef, Robin Wheeler. Installé au siège du Trade Hub à Abuja, Wheeler conduira le projet dans sa mission de rendre apte et de coopérer avec le secteur privé afin de répondre aux défis de développement durable les plus pressants de la région.
Pour y parvenir, Wheeler s'appuiera sur ses trois décennies d'expérience, grâce notamment aux postes de chef de projet, de représentant du pays et de représentant régional qu’il avait occupés auprès d'une douzaine de projets financés par l'USAID et le gouvernement américain. Avant de rejoindre le Trade Hub en janvier, Wheeler a dirigé le EnGRAIS Project, une activité de 5 ans (2018-2023) financée par l'USAID qui améliore la productivité des cultures en Afrique de l'Ouest à travers un meilleur accès aux engrais adaptés et abordables sur le plan régional, ainsi que leur bonne utilisation.
Apprenez plus au sujet de Robin dans ce Q&R, dans lequel il partage son opinion sur son nouveau rôle et au sujet du leadership, et donne la raison pour laquelle il se sent chez lui en Afrique.
Q: Qu'est ce qui vous a attiré vers le poste de chef de projet du Trade Hub ?
R: J'ai été surtout attiré par l'opportunité de diriger un projet qui ferait une différence substantielle dans la vie des Africains de l'Ouest et par le caractère singulier du projet, notamment l'accent mis sur le commerce et l'investissement par le biais de subventions importantes. Le Trade Hub est unique par sa taille, sa portée et son orientation, et a le potentiel d’avoir un impact substantiel à plusieurs niveaux dans la sous-région. Bien qu’ayant travaillé sur des projets de développement dans la région pendant plus de 20 ans, je sais que l'impact que j'ai pu avoir a été limité et je suis convaincu que l'impact du Trade Hub dépassera de loin ces petites interventions.
Q: Quel impact durable espérez-vous que le Trade Hub aura en Afrique de l'Ouest ?
R:J'espère que le Trade Hub aidera à changer le paradigme du commerce et de l'investissement en Afrique de l'Ouest qui est typiquement caractérisé par de petites entreprises et des agriculteurs qui ont des actifs et des ressources limités et qui font des investissements non durables. Grâce au Trade Hub, nous créons des liens commerciaux solides et cohérents et les transformons en de grandes entreprises solides avec des plateformes innovantes et extensibles qui bénéficieront à un grand nombre de personnes.
Q: Vous avez conçu et dirigé d'importants programmes de sécurité alimentaire, notamment en tant que conseiller régional en sécurité alimentaire pour le programme alimentaire mondial des Nations unies. Qu'est-ce qui motive votre passion pour le développement agricole durable et la sécurité alimentaire, en particulier en Afrique ?
R:Depuis que j'ai mis le pied sur le continent africain pour la première fois il y a plus de 41 ans, et durant des années que je vis et travaille dans plus de 30 pays, j'ai vu les problèmes et les enjeux, mais aussi l'énorme potentialité de l'Afrique, et j'ai voulu faire ce que je pouvais pour faire la différence. Si je suis fermement convaincu qu'il doit y avoir des "solutions africaines aux problèmes africains", je pense également qu'une expérience et un savoir-faire venus d'ailleurs peuvent apporter des innovations et des connaissances susceptibles de faciliter et d'accélérer le développement.
Q: Vous avez occupé divers postes de direction dans de grandes organisations. Selon vous, quelle est la qualité la plus importante d'un bon leader et comment ceux qui cherchent à occuper des postes de direction peuvent-ils développer cette qualité ?
R:Je pense que les qualités les plus importantes sont la reconnaissance du fait que vous ne pouvez diriger efficacement que si les personnes qui vous entourent et qui vous sont subordonnées pensent que vous valez la peine d'être suivi, qu'elles ont le sentiment que vous les aiderez à exceller dans leur rôle et que vous vous souciez d'elles, de leur vie et de leur famille. En effet, le personnel doit être inspiré, encadré et soutenu pour s'épanouir, sinon il est peu probable qu'il réalise les performances que vous attendez de lui.
Q: Quelle est une leçon tirée d'un précédent rôle de direction que vous aimeriez partager avec tout dirigeant potentiel ?
R:J’ai appris de l’ensemble de mes fonctions de direction antérieures que votre performance ne pourra dépassée celle des gens que vous incitez à vous suivre, et que pour réussir sur ce point, vous devez être clair et cohérent dans vos communications avec eux et honorer vos engagements.
Q: Le Trade Hub compte actuellement plus de 50 membres du personnel à temps plein répartis dans toute l'Afrique de l'Ouest et, comme de nombreuses entreprises opérant pendant la pandémie, la plupart travaille à domicile. Quelles stratégies avez-vous trouvé utiles pour créer une familiarité et une collaboration dont le Trade Hub et nos entreprises partenaires devraient copier ?
R:J'ai commencé à faire face à la pandémie dans le cadre de mon précédent projet régional dès le premier jour de sa déclaration en Afrique de l'Ouest, et j'ai constaté qu'il était essentiel de maintenir un contact étroit non seulement par le biais d'emails mais aussi de chats, d'appels audio et vidéo et de tenir des réunions face à face soigneusement organisées, dans la mesure du possible, pendant cette période. Les dirigeants doivent faire beaucoup plus d'efforts pour veiller à ce que le personnel soit engagé et lui servir d'exemple, et encourager leurs managers à faire de même.
Q: Le Trade Hub a récemment signé son 71ème partenariat de co- investissement et nos entreprises partenaires vont de marques de soins de la peau bien connues et basées aux Etats-Unis comme Alaffia, à des entreprises solides mais plus petites comme Club Tiossane, basé au Sénégal, un service de livraison de produits alimentaires frais. Quel est le conseil que vous donneriez pour établir des partenariats commerciaux solides ?
R:Concentrez-vous sur des partenaires qui s'engagent à faire leur part pour rendre la relation forte et fructueuse, sinon le partenariat risque de ne pas atteindre sa durée de vie, ce qui sera insatisfaisant à la fois pour le Trade Hub et les bénéficiaires prévus.
Q: Bien que vous soyez originaire du Nebraska, vous avez vécu et travaillé dans la plupart des pays du continent, y compris tous les pays d'Afrique occidentale. Quel a été votre pays préféré jusqu'à présent, et pourquoi recommanderiez-vous de le visiter ?
R:Comme vous pouvez l'imaginer, on me pose souvent cette question et il m'est difficile d'y répondre sans équivoque, car j'ai apprécié différentes choses dans les 13 pays où j'ai vécu au cours des quatre dernières décennies. Cependant, j'ai un amour particulier pour l'Afrique de l'Ouest car, entre autres, ma femme est originaire de Guinée et nous avons passé nos cinq dernières années au Ghana. J'ai également apprécié le temps passé au Nigeria, au Togo, au Niger, au Liberia et en Guinée au cours de ma carrière.
Q: Qu'admirez-vous le plus dans la culture ouest-africaine ?
R:Son dynamisme, sa diversité et sa culture, avec ses vêtements, sa nourriture, ses danses et le fait qu'elle place la famille au-dessus de tout. Ce dernier point est problématique lorsque l'appartenance à la famille, au clan et/ou au groupe ethnique l'emporte sur la construction d'une nation ou la complique, mais étant marié à une ouest-africaine, j'ai un point de vue unique, j'ai expérimenté et je comprends mieux que la plupart des expatriés.
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Les points forts des nouveaux partenariats de co-investissement du Trade Hub |
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Par Blessing Lass, Senior Spécialiste en Communication
Au cours des 4 derniers mois, le Trade Hub a octroyé des subventions de co-investissement d’environ 21 millions de dollars à 28 entreprises, ce qui porte à 71 le nombre total de nos partenaires de co-investissement. Les subventions, qui vont de 250 000 à 2 millions de dollars, ont été rendues possibles par les missions de l'USAID dans la région, ainsi que par un financement spécifique à travers des initiatives « Prosper Africa» et « Feed the Future» du gouvernement américain. Ces partenariats de co-investissement s'étendent sur 10 pays d'Afrique de l'Ouest - le Nigéria, le Ghana, le Sénégal, la Côte d'Ivoire, le Libéria, le Burkina Faso, le Niger, le Mali, le Cap- Vert et le Togo – ce qui témoigne de la forte présence que le Trade Hub maintient et cherche à renforcer en Afrique de l'Ouest.
Les projets développés dans le cadre de ces partenariats du Trade Hub contribueront de manière significative à la croissance économique en Afrique de l'Ouest, à travers la création d'emplois, l’augmentation des revenus des personnes travaillant dans des dizaines d'industries et une hausse des exportations américaines de produits provenant de la région ou fabriqués dans la région. Il est à noter que les projets sont autant plus divers que les entreprises dans lesquelles le Trade Hub a investi par le biais de l'USAID et de Prosper Africa, y compris les entreprises récemment recrutées qui travaillent dans les domaines de l'eau, de l'assainissement et hygiène (WASH), de l'agriculture, des services financiers et des vêtements.
Découvrez quelques secteurs dans lesquels les nouveaux partenariats de co-investissement du Trade Hub s'engagent :
Le Secteur WASH
West Africa Water SA : Au Sénégal, l'un des domaines d'intervention privilégiés est le soutien aux projets WASH dirigés par le secteur privé. En octobre 2021, le Trade Hub a octroyé une subvention de co-investissement de 505 000 dollars à l'un de ses premiers partenaires dans le secteur WASH, la société West Africa Water SA basée au Sénégal, afin de tirer parti de l'objectif de la société qui est la production et la commercialisation de l'eau potable au Sénégal.
West Africa Water s'appuiera sur ses investissements pour déployer ses kiosques franchisés de production d'eau potable dit « Diam'O » dans de nouvelles localités de la région de Dakar et pour améliorer les performances de 25 kiosques existants à Dakar, Thiès et Kaolack. Cette activité permettra à 78 905 personnes d’avoir accès à l’eau potable de qualité à moindre coût et de créer d'ici décembre 2023 environ 413 emplois dont la majorité sera destinée aux femmes et aux jeunes.
DELTA S.A : En s’appuyant sur la subvention de co-investissement de 1 million de dollars octroyé par le Trade Hub, Delta S.A va intensifier ses efforts déjà efficaces au Sénégal pour améliorer les services d'assainissement et le réseau d'égouts. Le projet de ce partenaire a le potentiel d'assurer l'accès à de meilleurs services d'assainissement et d'eau pour 121 612 personnes et de créer 319 nouveaux emplois d'ici la fin du partenariat en avril 2024.
Le Secteur Agricole
Newpal Nigeria Limited (Newpal) : Le Trade Hub a octroyé une subvention de co-investissement d'environ 1,7 million de dollars à Newpal Nigeria Limited pour une réponse rapide dans le cadre du COVID-19. La subvention permettra à Newpal d’aider 2000 agriculteurs à assurer de façon ininterrompue l’approvisionnement de grains de maïs et de soja de haute qualité vers son usine de transformation, ce qui va renforcer la résilience des petits exploitants agricoles touchés par la pandémie de COVID-19, réduire l'insécurité alimentaire et créer des opportunités d'emploi pour les jeunes et les femmes. A travers la formation des agriculteurs aux meilleures pratiques agricoles et en leur fournissant des semences de qualité et d'autres intrants, Newpal devrait augmenter les rendements des agriculteurs de 2,3 tonnes à 4 tonnes par hectare pour le maïs, et de 1,9 tonnes à 4 tonnes par hectare pour le soja.
Agroserv Industries : Dans le but de contribuer au développement durable de la chaîne de valeur du maïs au Burkina Faso, Agroserv Industries a reçu une subvention d'environ 1,5 million de dollars de la part du Trade Hub. La part de maïs achetés directement auprès des producteurs d'Agroserv Industries va augmenter de son taux actuel de 20 pour cent à 75 pour cent, augmentant ainsi les revenus des producteurs. Le succès du partenariat permettra à Agroserv d'augmenter le volume de ses exportations de 500 tonnes en 2020 à 2000 tonnes prévues d’ici 2024.
Savannah Fruits Company : Savannah Fruits va augmenter les exportations de beurre de karité produit en Afrique de l'Ouest vers les États-Unis et d'autres pays en tirant parti d'une subvention de co-investissement de 1,47 million de dollars du Trade Hub par le biais de Prosper Africa. Savannah Fruit soutiendra 21000 collecteurs et transformateurs de karité au Ghana, en Côte d'Ivoire et au Mali dans le cadre de son projet avec le Trade Hub. L'entreprise assurera également la formation de 12 coopératives nouvellement créées dans les domaines de la gestion d'entreprise, de la collecte, du traitement et des pratiques de production conformes aux normes internationales.
EcoCajou : Une subvention de co-investissement de 800 000 dollars octroyés par le Trade Hub à EcoCajou renforcera la chaîne de valeur de la noix de cajou dans le nord de la Côte d'Ivoire. Le projet permettra de renforcer les compétences des fournisseurs et d'installer une nouvelle unité de traitement d'une capacité annuelle de 15 000 tonnes de noix brutes. Cela permettra à EcoCajou de se procurer davantage de noix de cajou auprès de fournisseurs partenaires et d'accroitre ses exportations de noix de cajou, notamment vers les marchés européens et américains. Le projet bénéficiera directement à 4 738 producteurs qui font de la noix de cajou leur principale culture de rente et créera 477 emplois dans le secteur de la transformation alimentaire.
Mali Shi SA : L’établissement d’une nouvelle chaîne de valeur mondiale pour le fonio centré au Mali dans le contexte ouest-africain est l'objectif de Mali Shi SA. En s'appuyant sur la subvention de co-investissement d'environ 1,9 million de dollars du Trade Hub et en mobilisant 11,6 millions de dollars supplémentaires en capital et ressources privés, Mali Shi SA établira des exportations directes de 4 800 tonnes de fonio par an entre les Etats-Unis et le Mali d’ici la fin de son projet qui a une durée de 2,6 ans. Mali Shi SA devra exporter le fonio d’une valeur de 5 millions de dollars et espère créer 13 714 emplois dans le secteur agricole pendant la durée du projet.
Les services financiers
African Guarantee Fund : En tirant parti d’une subvention de 3 millions de dollars du Trade Hub, African Guarantee Fund va établir un programme d’appui financier sur deux volets dans le cadre du COVID-19, qui lui permettra d'octroyer jusqu'à 80 millions de dollars de garanties à 30 institutions financières partenaires, ce qui mettra jusqu'à 160 millions de dollars de financement à la disposition de 3000 petites et moyennes entreprises d'Afrique de l'Ouest. Les performances globales de ce programme joueront un rôle capital dans la création de près de 15 000 emplois et dans la génération de 100 millions de dollars de ventes et 8 millions de dollars d'exportations.
LoftyInc Allied Partners Limited (LoftyInc) : Le Trade Hub a octroyé une subvention de co-investissement d'environ 1,44 million de dollars au « Project Sparrow » de LoftyInc dans le but d’accroitre la productivité des petits exploitants agricoles nigérians et d’augmenter les moyens de subsistance dans sept États de « Feed the Future » et cinq chaînes de valeur désignées. En s'appuyant sur la subvention octroyée par le Trade Hub, LoftyInc mettra un financement direct progressif de 6,5 millions de dollars à la disposition d’au moins 20 entreprises (dont la moitié sera dirigée par des jeunes ou des femmes) qui doivent bénéficier de l’investissement, créant ainsi un portefeuille d'entreprises agroalimentaires et d'agritech innovantes qui assureront collectivement 4 000 emplois directs.
Sinergi Burkina : Sinergi Burkina, une société consacrée au financement et au soutien des start-ups et des petites et moyennes entreprises en Afrique subsaharienne, va tirer parti de la subvention de co-investissement de 1 million de dollars du Trade Hub pour permettre à huit entreprises du Burkina Faso d'accéder au financement en déboursant 7,6 millions de dollars en fonds propres et en prêts pour le fonds de roulement et les dépenses d'investissement. L'entreprise assurera également une assistance technique aux huit entreprises afin d'accroître leur impact et leur création de valeur.
Les vêtements
DTRT Apparel Ltd : Ayant bénéficié d’une subvention de co-investissement de 760 000 dollars du Trade Hub, DTRT Apparel Ltd, un leader du marché régional de la fabrication de vêtements en Afrique de l'Ouest, tirera avantage des investissements privés supplémentaires pour augmenter ses exportations vers de grandes marques de vêtements américaines. Elle générera plus de 100 millions de dollars d’exportations cumulées et établira au moins trois nouvelles marques mondiales de vêtements tout en créant 1 710 nouveaux emplois.
Le Trade Hub espère collaborer aussi bien avec nos nouveaux partenaires de co-investissement qu’avec les partenaires de co-investissement qui ont déjà bénéficié des subventions et qui ont commencé la mise en œuvre des projets. Vous pouvez rester informé des succès de nos partenaires de co-investissement sur notre site web et en nous suivant sur Facebook, Twitter et LinkedIn.
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Succès dans la production |
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Le partenariat entre Babban Gona et le Trade Hub fait monter la récolte des agriculteurs nigérians dans la lutte contre l’insécurité alimentaire |
La pandémie du COVID-19 a exacerbé l'insécurité alimentaire au sein de la population nigériane, en particulier parmi ceux qui sont dans des communautés agricoles rurales, lesquels sont parmi les plus vulnérables et les plus touchés par cette crise sanitaire et économique en cours.
Kola Masha, Directeur général de Babban Gona, une entreprise sociale agro-technique basée au Nigéria, déclare que depuis que le Trade Hub a octroyé une subvention de co-investissement de 500 000 dollars à l'entreprise en mai 2021, il y a moins d'inquiétudes au sujet de l'insécurité alimentaire car les agriculteurs bénéficient désormais de paquets agricoles et de formation pour augmenter l'approvisionnement alimentaire.
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Une formation reçue par le biais de Red River Foods sert de base aux efforts d'une femme pour tirer profit des noix de cajou |
Au cours des deux dernières décennies, le commerce mondial de noix de cajou brutes a plus que doublé pour atteindre 2,1 milliards de kilogrammes. Si les pays africains sont à l'origine de ce boom, les producteurs de noix de cajou comme Kate Gyabaah ont rarement vu leurs revenus augmenter malgré la demande internationale croissante de noix de cajou.
Âgée de 51 ans, Kate est née et a grandi à Aboukrom, un petit village fortement boisé situé dans le district municipal de Jaman South au Ghana. Jaman South se trouve dans la région de Bono, non loin de la frontière du pays avec la Côte d'Ivoire, le plus grand producteur de noix de cajou au monde.
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Quatre bénéficiaires de subventions au Sénégal partagent leur progrès lors des visites de sites effectués par l’USAID/Trade Hub |
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Des représentants de l'USAID-Sénégal ont effectué des visites de site techniques auprès de quatre partenaires de co-investissement du Trade Hub du 30 novembre au 2 décembre afin de s'informer sur les projets des entreprises financés en partie par l'USAID Sénégal/Trade Hub, de documenter les progrès réalisés depuis la mise en œuvre et de rencontrer le personnel et les bénéficiaires du projet.
L'équipe de l'USAID était composée de William Bradley, responsable des entreprises privées, Etienne Désiré Diouf, spécialiste du développement du secteur privé, Salimata Massaly, spécialiste du secteur privé et de la gestion des ressources naturelles, Christine Ndiaye, spécialiste des politiques et du commerce des investissements, et de Tanor Ndao, spécialiste de l'agriculture. L'équipe de l'USAID était accompagnée de Ibrahima Wade, spécialiste du suivi et de l'évaluation pour le Trade Hub, et de quatre membres de l'équipe du Public Private Partnership (PPP) du Trade Hub basé au Sénégal : Lotfi Kourdali, Directeur du PPP ; Etienne Chia-ah, Responsable PPP ; Bamba Fall, Responsable PPP ; et Ibrahima Wade, Spécialiste en suivi et évaluation.
La première journée a commencé par une visite à Notto et à Sebikotane dans la région de Thiès pour visiter des exploitations agricoles liées à Club Tiossane, bénéficiaire de la subvention du Trade Hub, qui est un service de livraison de produits frais en ligne basé à Dakar au Sénégal. Le Trade Hub a octroyé une subvention de co-investissement de 495 194 dollars à l'entreprise pour renforcer les liens commerciaux entre les petits producteurs sénégalais et les consommateurs urbains et pour l’aider à répondre à la demande croissante de livraisons de produits alimentaires en raison de la pandémie.
La deuxième journée a vu l’équipe se rendre dans la zone de Ndellé et Saint-Louis, pour documenter les progrès réalisés par Agro Boye. Grâce à une subvention de co-investissement de 1,1 million de dollars, l'entreprise agroalimentaire va augmenter sa capacité de production de patates douces, de tomates et d'oignons afin de réduire l'insécurité alimentaire et la dépendance aux importations du Sénégal. La visite d’Agro Boye comprenait des réunions avec les cadres supérieurs de l'entreprise, une présentation du projet, des visites de fermes, une rencontre avec le chef du village de Ndellé, et la contemplation des systèmes d'irrigation utilisés pour le projet.
Après la visite du site d'Agro Boye, l'équipe s'est rendue dans la zone de Ross-Béthio et Saint-Louis, pour en savoir plus sur tout ce que l'Entreprise Aissatou Gaye (EAG) a accompli. Cette entreprise appartenant à une femme a reçu une subvention de co-investissement de 450 842 dollars pour augmenter la production de riz blanc dans la zone de Ross-Béthio au Sénégal dans le but de réduire la dépendance du pays vis-à-vis du riz importé. L'équipe a suivi le progrès du projet de l'entreprise grâce à une présentation, une réunion avec les dirigeants de l'entreprise, une visite des installations de production et de stockage d'EAG, ainsi que des entretiens avec des bénéficiaires.
La troisième journée, l'équipe s'est rendue dans la zone de Richard-Toll pour s’informer sur les activités de la Laiterie du Berger, l'une des plus grandes laiteries du Sénégal et la seule à avoir construit un réseau professionnel d'éleveurs locaux qui fournissent du lait de vache frais. En s’appuyant sur la subvention de co-investissement de 518 878 dollars, la Laiterie du Berger va accroître sa capacité de production grâce à sa collaboration avec 1 150 éleveurs locaux supplémentaires. Dans le cadre de la visite de la Laiterie du Berger, l'équipe a rencontré des cadres supérieurs et des bénéficiaires, y compris des éleveuses.
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Le directeur du PPP visite Inpharma Laboratoires accompagné du Sous-Secrétaire d’Etat adjoint pour l'Afrique de l'Ouest et de l'ambassadeur des États-Unis au Cap Vert |
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Inpharma Laboratories, un partenaire de co-investissement basé au Cap Vert, a reçu une visite de haut niveau du Sous-Secrétaire d’Etat adjoint pour l'Afrique de l'Ouest Michael Gonzales et de l'Ambassadeur américain au Cap Vert, son excellence Jeff Daigle, le 30 novembre. Frantz Tavares, Responsable du Public Private Partnership au sein du Trade Hub, a accompagné Gonzales et Daigle lors de la visite, qui comprenait une visite des installations d'Inpharma Laboratories guidée par son PDG, le Dr Elisete Lima, laquelle a été suivie d'une conférence de presse. |
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Avec une subvention de 221 968 dollars du Trade Hub, Inpharma Laboratories va renforcer l'autonomie du Cap Vert en ce qui concerne la production de désinfectants. D'ici la fin du projet en avril 2024, la société va augmenter de 40 pour cent sa capacité de production de désinfectants et d'antiseptiques par rapport aux niveaux qui avaient précédé la pandémie du COVID-19 ; elle va élargir son portefeuille de produits pour inclure une gamme plus large de désinfectants, d'antiseptiques et de nouveaux produits ; et elle va augmenter sa main-d'œuvre de 10 pour cent, la plupart de ses emplois de fabrication étant destinés aux femmes et aux jeunes.
La visite de M. Gonzales à Inpharma Laboratories a été organisée dans le cadre d'une plus grande visite dans le pays insulaire du 29 novembre au 1er décembre, pendant laquelle il a tenu des réunions avec différents responsables du gouvernement dans le but de soutenir la coopération bilatérale entre les États-Unis d'Amérique et le Cap Vert.
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Un webinaire dirigé par le Trade Hub présente le " Plan Abeille " pour soutenir les petits exploitants agricoles
Par Nana Akua Mensah, Communications Specialist
Le marché mondial de l'apiculture axé sur la production de miel et de cire d'abeille était estimé à 9 milliards de dollars US en 2019, avec une valeur prévue de 11 milliards de dollars US d'ici 2026. Pour les petits exploitants agricoles d'Afrique de l'Ouest, dont beaucoup ont vu leurs revenus perturbés par les retombées économiques de la pandémie de COVID-19, l'apiculture présente une option viable pour renforcer la résilience économique en diversifiant leurs produits et leurs revenus tout en soutenant les efforts de conservation.
Le webinaire " De la ferme à la ruche : Pourquoi initier les agriculteurs à l'apiculture est une victoire pour les agriculteurs, les entreprises agroalimentaires et l'environnement ", qui s'est tenu le 24 février 2022, a exploré les moyens par lesquels les entreprises agroalimentaires, les organisations non gouvernementales (ONG) et les experts en apiculture pourraient aider les agriculteurs ouest-africains à produire du miel et de la cire d'abeille par le biais d'initiatives apicoles. Le webinaire a été co-organisé par USAID West Africa Trade & Investment Hub (Trade Hub), le projet de l'USAID sur la Biodiversité et le Développement à Faibles Emissions en Afrique de l'Ouest (WABiLED), et la Global Shea Alliance (GSA), un partenaire de l'USAID.
Faisant écho aux sentiments des 190 participants au webinaire, Aminata Mbaye, Chef de Projet Adjointe du Trade Hub, a exprimé dans ses remarques d'ouverture : " Je suis impatiente d'apprendre comment le fait d'aider ces petites créatures à faire ce qu'elles font le mieux a non seulement un impact positif sur notre environnement, mais peut également améliorer les moyens de subsistance des agriculteurs tout en augmentant le développement économique par le biais du commerce.
" La discussion a été modérée par Chaz Kyser, Responsable des communications du Trade Hub. Le panel était composé de Nouhou Ndam, Spécialiste de la Biodiversité de WABiLED ; Shannon Hess, Directrice des Achats Responsable chez Burt's Bees, un bénéficiaire du Trade Hub ; Cecil Wilson, Directeur de projet de la Universal Outreach Foundation ; Sylvain Cattin, Directeur général de Koster Keunen West Africa, un bénéficiaire du Trade Hub ; et Joseph Funt, Responsable de la stratégie multipartite pour le Partenariat des ingrédients naturels, qui travaille avec des entreprises pour lancer ou améliorer des initiatives apicoles. Les présentations de ces experts ont mis en exergue les avantages écologiques et économiques de l'apiculture pour les petits exploitants agricoles tout en soulignant les succès des projets apicoles en cours.
Dans sa présentation sur l'impact potentiel de l'apiculture sur les revenus des agriculteurs, Ndam a évoqué l'importance d'augmenter le nombre d'abeilles, car elles contribuent à la pollinisation des cultures agricoles et des habitats de la faune sauvage. En effet, le ministère de l'agriculture des États-Unis a estimé qu'un tiers de l'alimentation humaine totale provient directement ou indirectement de plantes pollinisées par les insectes qui produisent des fruits, des légumineuses et des légumes. Ndam a également fait part de l'énorme potentiel de l'apiculture pour stabiliser et accroître les revenus des agriculteurs, en particulier lorsque leurs cultures ne sont pas de saison. Ndam a noté qu'en travaillant avec la Universal Outreach Foundation, basée au Liberia, les agriculteurs pouvaient générer un revenu supplémentaire d'environ 87,50 dollars par an et par ruche en vendant du miel.
Ndam a également expliqué comment l'apiculture pouvait être introduite comme moyen de subsistance alternatif pour les agriculteurs, y compris ceux qui vivent près des communautés en bordure de forêt en Afrique de l'Ouest, dont les habitudes agricoles contribuent souvent à la déforestation.
Le webinaire a attiré des parties prenantes d'Afrique de l'Ouest, d'Amérique du Nord et d'Europe, suscitant des conversations animées entre les participants via la boîte de discussion et une session de questions-réponses qui a fourni des informations précieuses aux entreprises agroalimentaires, aux ONG et aux agriculteurs intéressés par l'apiculture. En outre, le webinaire, qui s'est déroulé en anglais avec une traduction en français, a servi de déclencheur à ces parties prenantes pour créer des réseaux et des partenariats afin de soutenir les agriculteurs ouest-africains de diverses manières.
Dans son discours de clôture, Bettina Boateng, Directrice Régionale Principale de la Communication pour USAID/Afrique de l'Ouest, a exprimé son enthousiasme face aux partenariats potentiels et à l'impact économique attendu pour les agriculteurs.
"Ce webinaire engageant a présenté des leaders dans le domaine de l'apiculture qui ont sans aucun doute souligné les avantages de l'apiculture et de la production de miel et de cire d'abeille", a déclaré Boateng. "Nous avons entendu tout le "buzz" concernant l'impact positif de l'apiculture sur l'environnement et les possibilités infinies dans l'espace de croissance économique pour toutes les parties prenantes, et plus important encore, pour l'épine dorsale de cette chaîne d'approvisionnement particulière - les agriculteurs respectés et travailleurs sur le terrain."
L'enregistrement du webinaire peut être consulté ici.
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Questions et réponses sur les partenaires
West Africa Water, Senegal
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West Africa Water est un pionnier dans la production d'eau potable au Sénégal, ce qui a été rendu possible par son système de dessalement décentralisé et peu coûteux qui permet de traiter l'eau saumâtre. Grâce à une subvention de co-investissement de 505 000 dollars (287 millions de CFA) de la part du Trade Hub, l'entreprise s’appuie sur son objectif de développer et étendre son réseau de kiosques à eau dans trois régions – les régions de Dakar, de Thiès et de Kaolack - en s'associant avec davantage de propriétaires de kiosques à eau franchisés. Ce concept est écologiquement prudent, créateur d'emplois et socialement responsable.
Dans cette séance de questions-réponses, Thomas Gajan, directeur général de West Africa Water, explique comment son entreprise permet l'accès à l’eau potable de qualité à un prix abordable grâce à son modèle économique.
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Q: West Africa Water SA est une entreprise reconnue au Sénégal qui a l'ambition de devenir l'un des principaux acteurs dans la production d'eau potable. Comment votre partenariat avec le Trade Hub contribuera-t-il à la croissance et au succès de votre entreprise ?
R: Le partenariat avec le Trade Hub est un accélérateur pour notre entreprise. Le soutien financier nous permet de mettre 25 nouveaux kiosques à eau rapidement en place et de rénover 25 kiosques existants à fort potentiel. L'assistance technique du Trade Hub contribue également à élever le niveau des normes opérationnelles au sein de l'entreprise, afin de nous préparer au passage à l'échelle.
Enfin, ce soutien sous forme de co-investissement avec le secteur privé rassure et encourage nos investisseurs privés historiques à continuer à soutenir notre entreprise sociale dans son développement. Il nous permet également d'attirer de nouveaux investisseurs au profil plus institutionnel, car le marché dans lequel nous évoluons et notre modèle économique nécessitent des financements et du temps pour atteindre la taille critique.
Q: West Africa Water SA est une entreprise reconnue au Sénégal qui a l'ambition de devenir l'un des principaux acteurs dans la production d'eau potable. Comment votre partenariat avec le Trade Hub contribuera-t-il à la croissance et au succès de votre entreprise ?
R: Le partenariat avec le Trade Hub est un accélérateur pour notre entreprise.
Le soutien financier nous permet de mettre 25 nouveaux kiosques à eau rapidement en place et de rénover 25 kiosques existants à fort potentiel. L'assistance technique du Trade Hub contribue également à élever le niveau des normes opérationnelles au sein de l'entreprise, afin de nous préparer au passage à l'échelle.
Enfin, ce soutien sous forme de co-investissement avec le secteur privé rassure et encourage nos investisseurs privés historiques à continuer à soutenir notre entreprise sociale dans son développement. Il nous permet également d'attirer de nouveaux investisseurs au profil plus institutionnel, car le marché dans lequel nous évoluons et notre modèle économique nécessitent des financements et du temps pour atteindre la taille critique.
Q: L'accès à l'eau potable reste un défi pour certaines populations au Sénégal, notamment celles des quartiers défavorisés et des zones rurales. Comment West Africa Water rend-elle l'eau potable plus accessible aux communautés qui en ont le plus besoin ?
R: Nous travaillons à deux niveaux d'accessibilité : le niveau géographique et le niveau financier.
Notre modèle de kiosque à eau nous permet de produire de l'eau potable de manière décentralisée et de cibler les populations qui en ont le plus besoin. Ce modèle de production et de commercialisation locale minimise le coût du transport de l'eau et des plastiques à usage unique, tout en créant des emplois dans les quartiers et zones ciblés.
Nous avons déployé de nombreux kiosques dans les zones rurales par le passé et continuons à les exploiter partout où les gens n'ont pas d'alternative acceptable. Nous avons également constaté que l'accès à l’eau potable de qualité demeure un problème dans certaines zones urbaines et périurbaines, notamment les plus populaires, et nous avons choisi d'étendre notre modèle dans ces zones, compte tenu du fait que ces communautés ont besoin de notre service. De plus, le seuil de rentabilité financière est plus facile à atteindre pour les entrepreneurs que dans les zones rurales, où le modèle doit généralement être subventionné.
Il convient de noter que nous commercialisons l'eau par l'intermédiaire des entrepreneurs à un tarif qui est au moins trois fois plus abordable que l'eau minérale la plus moins chère en format 10L sur le marché. Et nous adaptons notre prix au pouvoir d'achat de la population en réduisant le prix dans toutes les villes et zones qui en ont besoin.
Q: West Africa Water assure la production et la vente de l'eau potable de qualité identique en mettant en place des tests de qualité de l'eau tous les 6 mois au niveau de chaque kiosque et a plusieurs mécanismes en place pour surveiller et assurer la qualité de l'eau. Cependant, étant donné que les gens utilisent depuis longtemps de l'eau en bouteille ou de l'eau bouillie pour boire, certains peuvent être réticents à utiliser l'eau de vos kiosques. Comment aidez-vous les propriétaires de kiosques et les consommateurs à avoir confiance dans la salubrité de l'eau fournie ?
R: C'est l'un des points d’intérêt du projet du Trade Hub, et cela commence par des opérations de sensibilisation dans le quartier où le kiosque va commencer ses activités. Plusieurs jours d'activités sont prévus avant le lancement commercial d'un kiosque, pour expliquer le modèle à la population et lui faire goûter l'eau. Des analyses de l'eau sont également affichées sur chaque kiosque. A la fin de cette importante période de lancement commercial, le bouche à oreille prend généralement le relais.
Q: Outre l'obtention de partenariats et de financements tels que ceux du Trade Hub, quelle est la stratégie clé que vous employez pour assurer la durabilité de West Africa Water ?
R: Le besoin pour une eau potable sûre et abordable est grand. La clé pour assurer la pérennité de notre activité est de continuer à construire une base solide et de démontrer la durabilité économique du modèle de kiosque à eau, ce qui crée une valeur partagée parmi les bénéficiaires (eau sûre et abordable), l'entrepreneur et les employés (création d'emplois), et enfin la société dans son ensemble (protection de l'environnement, lutte contre l'économie informelle).
Pour y parvenir, nous investissons dans tout ce qui apporte une valeur ajoutée à l'offre de franchise, notamment l'innovation dans notre système de traitement de l'eau, les services informatiques aux franchisés, ainsi que le marketing et la construction de notre marque. C'est cette expertise et ces outils que nous pourrons mettre à la disposition de nos partenaires dans d'autres pays d'Afrique de l'Ouest, à mesure que nous déploierons notre modèle de franchise sur de nouveaux territoires.
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Le point sur AGOA
Si votre entreprise souhaite en savoir plus sur le African Growth & Opportunity Act (AGOA) et sur les services offerts par le biais du Trade Hub, consultez des webinaires animés par notre équipe AGOA au cours des 4 derniers mois :
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Le Trade Hub dans la presse
Le Trade Hub et ses partenaires de co-investissement continuent de bénéficier d'une bonne couverture médiatique, avec au moins 80 mentions médiatiques connues, enregistrées dans des organes axés sur le développement international, la finance, l'agriculture et/ou le commerce et l'investissement au cours des 4 derniers mois.
Il convient de noter que notre partenariat avec Red River Foods, soutenu par Prosper Africa, a fait l'objet d'une importante couverture médiatique centrée sur la visite des représentants du gouvernement américain aux installations de la société à Richmond, en Virginie, notamment à travers une vidéo produite par ABC's 8 News.
D’autres formes de cette couverture médiatique vont d’articles publiés sur le partenariat entre le Trade Hub et Agro Boye dans Food Business Network, considéré comme le magazine et le site Internet numéro 1 en Afrique dans le domaine de l'alimentation et de l'industrie, à une interview radio avec les dirigeants de La Petite Damba sur Capital Radio en Sierra Leone, en passant par un article sur Financial Afrik mettant en avant La Laiterie du Berger, ainsi qu’à un article original portant sur Thrive Agric apparu dans Borgen Magazine. |
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Comment trouver les bons détaillants pour votre produit |
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Harvell Trading & Vendors Services vous propose du soutien et des conseils supplémentaires pour toute question concernant l'exportation de votre produit aux États-Unis. Nous sommes spécialisés dans les produits alimentaires et les boissons, mais nous sommes en mesure de vous guider dans la bonne direction pour l'importation d'autres produits. Veuillez visiter notre site Web et examiner nos possibilités de consultation dès aujourd'hui. Nous avons plusieurs partenaires avec des expertises différentes, de sorte que nous sommes en mesure de vous aider à développer votre entreprise. Pour plus d'informations,
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Trouver les bons détaillants américains pour vos produits alimentaires est essentiel pour vous assurer que les produits que vous avez travaillé très dur à développer, perfectionner et emballer soient accessibles et commercialisés efficacement auprès de vos clients cibles. Mais, vous devez d'abord comprendre les niveaux et les types de détaillants, ainsi que les avantages et les inconvénients de travailler avec chacun d'eux, afin de trouver la meilleure solution pour vos produits. C'est ce que j'ai appris en travaillant depuis plus de 20 ans dans le secteur des aliments spécialisés et naturels, où j'ai occupé des postes d'acheteur chez de grands détaillants américains, d'importateur de produits alimentaires spécialisés et de représentant commercial dans une société de courtage nationale.
Les détaillants aux États-Unis vont de petits magasins dans une seule ville à des détaillants nationaux possédant plus de 1 000 sites. Les principaux types de détaillants sont le commerce électronique, les magasins ethniques, les magasins à prix réduits, les magasins de proximité, les épiceries conventionnelles, les magasins de produits naturels, les magasins spécialisés, les clubs et les services alimentaires. Vous trouverez ci-dessous des informations sur les types de détaillants avec lesquels vous pourriez vous associer, ainsi que sur les canaux de vente à envisager.
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Découvrez notre site web après refonte |
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Nous sommes ravis d'annoncer le relancement du site web de notre projet à l'adresse www.westafricatradehub.com . Nous avons entrepris de rendre le site plus attrayant, plus esthétique et plus facile à mettre à jour.
Ce nouveau site web nous permet également de présenter nos partenaires de co-investissement ainsi que leurs projets, à travers la page de partenaires. Sur cette page, les internautes pourront rechercher des informations sur nos entreprises partenaires en fonction du pays, de la chaîne de valeur et du secteur. Le choix des premiers partenaires à figurer sur cette page s’est fait en fonction des chiffres obtenus il y a quelques mois, mais bientôt, nous mettrons la page à jour pour inclure tous les partenaires.
Cette page va servir également à présenter les vidéos des partenaires, la première étant consacrée à Global Mamas. Cette entreprise sociale basée au Ghana œuvre avec des femmes partout dans le pays pour créer et vendre des produits artisanaux allant de vêtements batik éclatants à des bijoux en verre recyclé accrocheurs, en passant par des produits ménagers écologiques.
Vous pouvez également vous renseigner sur les appels à propositions /les opportunités de financement sur le site web ! Nous en avons publié deux et leur date limite de dépôt de candidatures approche !
Nous espérons que le site vous plaira et nous vous recommandons vivement l'agence numérique d'Accra Cavemen à laquelle nous avons fait appel pour la refonte du site. Consultez leur site Web pour en savoir plus sur leurs services de conception de sites et autres à l’adresse http://builtbycavemen.com.
Les versions française et portugaise paraitront bientôt-oh!
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Avertissement : Le contenu de ce bulletin d'information relève de la seule responsabilité de Creative Associates International et ne reflète pas nécessairement les opinions de l'USAID, du gouvernement des États-Unis ou de Prosper Africa.
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