Mission renforce sa sécurité de connexion
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Les menaces contre les infrastructures d'eau font de plus en plus l'objet de l'actualité. Afin de garantir que Mission Communications continue d'offrir un produit hautement sécurisé, nous annonçons deux changements de politique relatifs à vos identifiants de connexion.
Une fois connecté au portail Web, chaque utilisateur sera invité à modifier leur nom d'utilisateur avec une adresse électronique unique et à mettre à jour son mot de passe qui ne conforme pas aux nouvelles exigences.
Mission apprécie votre coopération dans la mise en œuvre de ces politiques. Si vous avez des questions sur ces nouvelles exigences, veuillez contacter techsupport@123mc.com.
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Salon Commercial
du 14 au 17 juillet
Savannah, GA
du 15 au 18 juillet
Lake Charles, LA
du 18 au 19 juillet
Kearney, NE
du 6 au 8 août
Las Vegas, NV
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du 25 au 27 août
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du 8 au 11 septembre
Keystone, CO
du 9 au 12 septembre
Virginia Beach, VA
du 11 au 13 septembre
Madison, WI
du 17 au 20 septembre
Edmonton, AB
Les avantages de Mission au quotidien
Des possibilités énormes
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Mission atténue les conséquences de la fonte printanière dans une ville québécoise
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Comme de nombreux reportages chocs l'ont démontré, la fonte des neiges a provoqué de graves inondations ce printemps dans plusieurs régions d'Amérique du Nord, incluant le Québec. Un client de Mission Communications, la Ville de Lavaltrie, est situé en bordure du fleuve Saint-Laurent au Québec. La ville s'étend sur 75 kilomètres carrés et fournit l'eau potable et la collecte d'eaux usées à environ 12 000 résidents sur une population de 14 500. Elle utilise 11 terminaux à distance de Mission pour visualiser les données de transmission et élaborer des stratégies d'atténuation des inondations. La ville a commencé à utiliser les RTU de Mission sur son réseau sanitaire en 2011, lorsque le ministère de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC ou son équivalent à l'époque) a demandé aux municipalités de mettre en œuvre des systèmes de télémétrie pour surveiller la quantité d'eaux usées rejetées dans les cours d'eau.
Mission a mené une entrevue avec M. Frédérick Rousseau, contremaître génie et infrastructures au Service des travaux publics de la Ville de Lavaltrie. Monsieur Rousseau est au service de la Ville de Lavaltrie depuis environ 14 ans. Il participe à tous les projets de travaux publics, y compris la mise à jour des réseaux municipaux. Il est responsable de l'usine de filtration et du traitement des eaux usées et il supervise les contrats annuels avec les entrepreneurs tels que le déneigement, le nettoyage et le marquage des rues municipales, etc.
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Cette image montre M. Frédérick Rousseau devant le panneau Terrasse Gravel, qui contient deux débitmètres d'eaux usées connectés à une RTU M800. Crédit photo: Ville de Lavaltrie
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Utilisation des données pour atténuer les conséquences de la fonte printanière
Monsieur Rousseau a expliqué qu'avant la mise en service de Mission, la présence des eaux parasites dans le réseau sanitaire constituait une source de préoccupation chaque printemps lors de la fonte des neiges et des pluies printanières. Une partie du réseau sanitaire de la ville est un réseau unitaire, ce qui signifie que les eaux usées et les eaux pluviales transitent par les mêmes conduites jusqu'au centre de traitement des eaux usées. L'autre partie des eaux parasites provient de l'infiltration d'eau dans le réseau causée par l'âge des conduites et/ou leur proximité avec le fleuve Saint-Laurent.
L'usine de traitement des eaux usées de la Ville de Lavaltrie a été conçue pour traiter
4 500 mètres cubes d'eau par jour. Durant la fonte des neiges, le volume d'eau a augmenté à près de 15 000 mètres cubes par jour. Cette situation peut ainsi provoquer des inondations dans de nombreuses résidences, puisque les conduites d'égout ne sont pas en mesure d'accueillir une telle augmentation du niveau de l'eau, en si peu de temps.
Monsieur Rousseau a expliqué que la fonte des neiges était plus sévère cette année parrapport aux années précédentes. « La dernière fois que nous avons eu une situation similaire c'est en 2017. À l'époque, environ 70 maisons ont subi des refoulements d'égouts», a-t-il déclaré. Mission a eu une incidence considérable sur la diminution des
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| Cette image montre l'une des pompes diesel utilisées pour éliminer l'excès d'eau des égouts lors de la fonte des neiges. Crédit photo: Ville de Lavaltrie |
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refoulements dans la ville. En observant les données fournies par Mission, les responsables ont pu déterminer les parties du réseau les plus névralgiques et les endroits où des actions devaient être prises rapidement afin d'éviter des refoulements chez les citoyens. « Cette année, nous avons loué trois pompes diesel et elles ont été placées à des endroits stratégiques, le long de notre réseau sanitaire situé près du fleuve Saint-Laurent », a-t-il déclaré. « En suivant les données de Mission, nous avons su à quel moment démarrer chaque pompe ». L'eau qui est pompée permet de diminuer la surcharge dans le réseau sanitaire. Monsieur Rousseau a expliqué : « Cette année, peu de résidences ont été affectées puisque que nous avons suivi les transmissions des données de Mission et nous avons pu intervenir au bon moment.» Monsieur Rousseau consulte régulièrement les rapports CSO / SSO et le débit volumétrique pour suivre l'effet des phénomènes météorologiques sur le réseau d'égout, ce qui permet d'éviter des amendes pouvant atteindre jusqu'à 10 000 $.
Autres utilisations du système de Mission
En plus de suivre les données de transmission au printemps, la Ville de Lavaltrie utilise le système de Mission pour lui permettre de s'assurer que les pompes installées dans les stations de pompage fonctionnent normalement, ce qui permet des actions préventives avant que des problèmes mécaniques importants ne surviennent.
Le Service des travaux publics utilise un pluviomètre sur un site choisi pour prévoir l'effet des pluies sur le réseau, ce qui lui permet de détecter les éventuels débordements et de prendre des mesures pour les prévenir.
De plus, les relais Mission sont utilisés pour réinitialiser les automates programmables (PLC) qui contrôlent le démarrage des pompes en fonction de la lecture des transmetteurs de niveaux. Monsieur Rousseau a expliqué que les automates se déclenchent parfois à cause d'une surcharge ou d'une coupure d'alimentation. Dans chaque cas, il peut constater à quel moment l'alimentation s'est arrêtée et utiliser les relais de Mission pour réinitialiser l'automate. Le fait de ne pas avoir à se rendre sur le site fait gagner beaucoup de temps à Monsieur Rousseau, qui peut enclencher le tout à distance.
Dans l'ensemble, Monsieur Rousseau a indiqué que la Ville de Lavaltrie souhaite élargir son réseau d'unités de Mission : « Nous aimons suffisamment la fiabilité de Mission pour déployer le système dans des endroits où nous n'avions pas été obligés de mettre en place un système de télémétrie ».
Pour en savoir plus sur le système Mission, contactez sales@123mc.com.
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Mission permet à RUSA de "résoudre les problèmes avant qu'ils ne surviennent"
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L'Autorité sanitaire urbaine de Roseburg (RUSA), basée à Roseburg, à l'Oregon, est un client de Mission Communications depuis 2010 et utilise des terminales à distances (RTU) série M800 dans neuf stations de pompage pour surveiller les niveaux de puits humides et les périodes de pompage dans le système de collection. M. Jim Baird, directeur général de RUSA, est responsable de la supervision de toutes les opérations quotidiennes dans l'utilitaire.* Il a utilisé les RTU de Mission à divers endroits presque depuis la fondation de la compagnie.
La zone de service couvre environ 15,6 miles carrés et comprend 11 000 connexions, neuf stations de pompage, 4 150 trous d'homme et environ 160 miles de canalisation d'égout. RUSA utilise deux installations de traitement. L'un est une installation de traitement traditionnelle avec une estimation moyenne en temps sec de 7,9 millions de gallons par jour et une capacité hydraulique de 22 millions de gallons par jour en hiver. L'autre installation de traitement est un système de traitement naturel, couvrant 340 acres, qui sert à refroidir et à réduire les éléments nutritifs contenus dans les eaux de rejet avant qu'elles ne soient renvoyées dans la rivière South Umpqua.
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M. Jim Baird pose avec l'un des RTU de
Mission utilisé dans le système de collection RUSA. Crédit photo: Ryon Kershner
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RUSA économise de l'argent et du temps avec Mission
RUSA a mis en place le système de Mission lorsque Monsieur Baird a été embauché d'être responsable des opérations d'ingénierie. Auparavant, RUSA utilisait des numéroteurs automatiques pour alerter l'équipe d'opérateurs sous contrat des problèmes avec le système. Monsieur Baird a expliqué: « Un numéroteur automatique vous dit simplement quand quelque chose fait erreur. C'est tout ce qu'il peut faire. Cela vous oblige alors à vous rendre sur place et à le résoudre ». Les responsables de RUSA et les opérateurs sous contrat ont reconnu la nécessité d'avoir un système permettant de mieux comprendre les problèmes potentiels.
Juste avant l'embauche de Monsieur Baird, la société sous-traitant avait soumis une proposition pour un système SCADA traditionnel, mais il a proposé le système de Mission comme solution de remplacement économique. Monsieur Baird a déclaré: « J'ai montrer ce qu'il en coûterait pour seulement soutenir le système radio, et cette proposition a été arrêtée uniquement sur la base de ces chiffres ». L'implémentation de la solution SCADA traditionnelle aurait obligé RUSA à mettre à jour le réseau de radios conformément aux exigences de la FCC en matière de bande étroite. Cela aurait coûté 24 000 $ seulement - sans compter les répéteurs et l'entretien des tours.
Les unités Mission utilisent le réseau de données de radio public, également appelé réseau cellulaire, géré par les les grands transporteurs cellulaires. De plus, la garantie d'obsolescence de la technologie de Mission couvre le coût de remplacement des radios en fonction de l'évolution de la technologie des réseaux cellulaires.
Monsieur Baird a expliqué qu'en plus d'économiser de l'argent, le portail Web 123SCADA a permis à RUSA de gagner du temps. « Mission vous permet d'obtenir des vues instantanés de toutes vos stations de relèvement 24h / 24, 7j / 7 et en théorie de résoudre les problèmes avant qu'ils ne surviennent », at-il déclaré. Bien que les responsables de RUSA aient été initialement impressionnés par le service de Mission, ils ont choisi de conserver les numéroteurs automatiques comme système redondant en raison des conditions météorologiques extrêmes auxquelles la région est exposée pendant les mois froids et pluvieux de l'hiver.
À la fin du printemps, Roseburg et ses environs ont été frappés par deux pieds de neige accompagnés d'une panne d'électricité près d'une semaine. Le système de Mission était crucial pour les opérations à cette époque car les stations de relèvement n'étaient pas fonctionnelles. « Le mécanicien en chef a pu consulter l'application 123SCADA sur son téléphone et de déterminer où envoyer un générateur. Nous avons un certain nombre de générateurs portables, mais pas un pour chaque station », a-t-il expliqué. "Il a vérifié le niveau de chaque station pour voir s'il était sur le point de déborder, ce qui lui a permis d'indiquer à son équipage les endroits prioritaires pour les générateurs." Monsieur Baird a déclaré que le système de Mission avait été si utile pendant cet événement météorologique que les responsables de RUSA et les opérateurs sous contrat avaient décidé d'éliminer les numéroteurs automatiques redondants et de se fier uniquement aux notifications d'appel d'alarme de Mission pour les aviser des problèmes potentiels.
Mission aide aux opérations quotidiennes de RUSA
En plus de se fier sur les données de Mission lors d'événements météorologiques violents, RUSA surveille les heures de fonctionnement des pompes pour aider à identifier les problèmes potentiels liés à l'équipement et planifier la maintenance préventive. « La tendance, c'est ce qui compte vraiment lorsque vous recherchez des échecs. Nous utilisons les données de tendance pour définir les alarmes et essayons intuitivement de comprendre ce qui se passe », a expliqué Monsieur Baird. « Vous pouvez même analyser un problème potentiel de votre bureau et vous n'avez même pas besoin de vous rendre à la station ».
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M. Jim Baird confirme que les contrôles de maintenance hebdomadaires ont été correctement exécutés. Crédit photo: Ryon Kershner |
Les RTU de Mission sont également utilisés pour envoyer des données concernant les niveaux de puits humides. Chaque puits humide ont trois points de détection de haut niveau pour garantir que les opérateurs sont avertis en cas de débordement potentiel. Monsieur Baird a dit: « Rien ne devrait jamais vous empêcher de pomper ou de vous notifier ». Le premier point est le niveau haut primaire, qui est mesuré par un capteur de niveau ultrasonique. La deuxième est un haut niveau redondant, mesuré par une sonde conductrice. Enfin, ils ont configuré un point de consigne d'alarme de débordement, qu'ils appellent un point haut-haut. Monsieur Baird a expliqué que les l'autorité des systèmes d'égouts de l'Oregon doit avoir un point de débordement pour chaque puits humide. Si le puit déborde, l'horodatage de ce niveau est utilisé lorsque l'événement est signalé à l'État.
De plus, les opérateurs ont câblé un relais de mode service à une lumière dans chaque installation. La lumiere s'allume lorsque les RTU sont en mode service, ce qui est utile aux opérateurs lors de leurs visites de maintenance hebdomadaires sur chaque site. La maintenance comprend l'inspection des puits humides, du matériel de pompage et des écoutilles. Sur les sites dotés de générateurs, les opérateurs les exercent également pendant 30 minutes et s'assurent qu'il ya suffisamment de carburant en cas de panne d'électricité.
Partisan de Mission à longue terme
Monsieur Baird est un ardent défenseur du service de Mission. Auparavant, il avait conçu les panneaux de commandes des stations de pompage pour les systèmes de collection des eaux usées et des eaux pluviales. Lorsque ses clients ont demandé un système de surveillance rentable, Monsieur Baird a recommandé les RTU de Mission. « C'est vraiment le plus facile à mettre en œuvre et à entretenir. D'avoir une carte avec toutes vos stations et la possibilité de la voir sur votre ordinateur portable, votre ordinateur de bureau ou votre téléphone prendrait sérieusement des centaines de milliers de dollars si vous le faisiez sur une plateforme différente », a-t-il expliqué. « Si les clients n'avaient pas de système et me demandaient de le recommander, je leur dirais" c'est vraiment difficile de battre cette petite boîte ».
RUSA a récemment installé sa première unité MyDro 850 pour exploiter les capacités d'entrées / Sorties étendues. Les unités M800 existantes seront mises à jour si le budget le permet, afin que le service public puisse bénéficier des améliorations futures du système de Mission. Pour en savoir plus sur les avantages de la mise à jour, consultez la brochure Options de mise à jour RTU ou contactez sales@123mc.com.
*M. Jim Baird a autorisé Mission Communications à le citer directement en français pour cet article.
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Les aliments assoiffés consomment plus d'eau que les humains
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La fondation GRACE Communications estime que l'Américain moyen utilise environ 227 litres d'eau par jour pour des tâches quotidiennes, telles que se laver, laver la vaisselle, tirer la chasse d'eau des toilettes et boire de l'eau. Ces tâches englobent ce que l'on appelle l'utilisation directe de l'eau. Cependant, la consommation d'eau indirecte représente une partie beaucoup plus importante de la consommation d'eau des États-Unis et comprend des éléments tels que la création de textiles et les récoltes alimentaires. Tous combinées, ces valeurs englobe ce que l'on appelle l'empreinte aquatique. En moyenne, les Américains qui mangent de la viande, combinent une consommation d'eau directe et indirecte d'environ 8328 litres par jour, donc une grande partie est attribuée au régime alimentaire.
Tous les aliments ne sont pas créés égaux. La production de viande nécessite beaucoup plus d'eau que la production de fruits et de légumes, car l'eau utilisée pour produire la nourriture des animaux doit également être prise en compte. Voir la liste des aliments courants ci-dessous pour des exemples d'eau requise pour créer une portion standard de chaque produit. Pour faciliter la comparaison, les aliments dont la portion recommandée est similaire ont été sélectionnés pour cet article.
Fruits / Légumes:
Carottes, portion de 113g: 14l
Brocoli, portion de 113g: 37.1l
Pomme, portion de 113g: 50.7ll 
Banane, portion de 113g: 86.3l
Fécules:
Patate, portion de 85g: 33.6l
pain de blé, portion de 85g: 163.9l
Pâtes, portion de 85g: 188.5l
Boissons:
biere, portion de 237ml: 59.4l
Jus d'orange, portion de 237ml: 124.5l
Jus de pomme, portion de 237ml: 127.9l
Lait, portion de 237ml: 165.8l
Protéine:
Poulet, portion de 113g: 503.1l
Porc, portion de 113g: 624.6l
Beuf, portion de 113g: 1609.2l
Le LA Times a créé un calculateur visuel qui vous permettra d'estimer la quantité d'eau utilisée pour créer divers repas. De plus, vous pouvez calculer votre propre empreinte aquatique en utilisant cet outil parrainée par la Fondation GRACE Communications.
Les valeurs de consommation d'eau des aliments mentionnées dans cet article sont basées sur les informations acueillies lors d'une étude réalisée par le LA Times en 2015. D'autres informations générales ont été compilées à partir d'une étude parrainée par la Fondation GRACE Communications.
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