|
Saviez-vous que les blessures aux doigts, aux poignets et aux bras comptaient pour une demande d’indemnisation sur cinq reçues par la CSTIT l’an dernier?
Ces blessures sont particulièrement fréquentes dans le secteur de la construction : plus de la moitié des blessures aux mains signalées aux Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut sont enregistrées dans ce secteur. Environ une demande d’indemnisation pour une perte de temps de travail sur quatre déposées auprès de la CSTIT en 2022 provenait du secteur de la construction, des métiers ou d’une industrie adjacente.
On ne compte plus les types de blessures aux mains dans le secteur de la construction tant ils sont nombreux. Voici les types les plus courants et quelques exemples :
- Brûlures et ébouillantages – vapeur chaude, feu, sources électriques ou produits chimiques;
- Coupures, piqûres ou écrasements – utilisation d’outils électriques ou d’instruments comme des ciseaux, ou coincement d’un doigt dans une porte qui se ferme;
- Fractures ou fissures – à la suite d’une chute, d’un choc avec un objet ou d’une main prise dans une machine;
- Foulures – utilisation d’outils trop gros ou trop petits, ou dans une posture contraignante pour les mains et les bras.
Les blessures aux mains ne doivent pas être prises à la légère. De tels incidents peuvent entraîner une perte permanente de fonctionnalité, voire une amputation dans les cas les plus graves. Consultez la page Pleins feux sur la sécurité de la CSTIT pour en savoir davantage sur la prévention des blessures aux mains.
|